Théâtre : disputes en cinq pièces 2011-12

Voleur de cheval

Édouard : Vous avez l'air triste. Qu'est-ce qui se passe ?
Bella : On a volé mon cheval.
Édouard : Aaa ! Je suis désolé !
Bella : Au revoir.
Édouard : Au revoir. J'espère que vous le trouverez.
Bella : Haa ! Là, c'est mon cheval. Hé, toi ! C'est mon cheval.
Le voleur : Non. Il est à moi.
Bella : Alors, dites-moi que ce cheval est aveugle.
Le voleur : Oui, je sais, de l'œil droit.
Bella : Non.
Le voleur : Alors, l'œil gauche.
Bella : Non !!
Le voleur : Je ne vous donne pas le cheval parce que j'aime le cheval.
Bella : Donc, tu ne veux pas le rendre ? Bien. Je vais te dénoncer.
Le voleur : Je n'ai pas peur.
Bella : J'ai trouvé. On va faire un concours.
Le voleur : D'accord.
Bella : Le cheval sera à celui qui gagne le concours.

(Le concours commence)

Le voleur : Ahahah !
Bella : Voilà, c'est mon cheval.

Sezer et Edanur


Chez la voyante

Sonia : Entrez.
Valentine : Bonjour. Je veux savoir mon futur.
Sonia : Je le sais car les personnes viennent chez moi pour voir leur futur. Donne-moi votre main.
Valentine : Vous ne m'avez pas demandé mon prénom.
Sonia : Je sais que vous vous appelez Valentine. Mais je pense que vous ne connaissez pas bien les voyantes.
Valentine : Ouuu. D'accord. Je vous donne ma main. Vous avez dit mon prénom sans regarder.
Sonia : C'est normal que je sache votre prénom car vous avez pris un rendez-vous et vous avez donné votre prénom.
Valentine : Oui, c'est ça ! Vous pouvez regarder. Je n'ai pas beaucoup de temps.
Sonia : Je vois que tu vas avoir un accident avec une voiture.
Valentine : Quoiiii ?? Vous avez mal vu. Ce n'est pas possible. Vous devez regarder encore.
Sonia : Ha oui. Pardon. C'est peut-être parce que je n'ai pas mes lunettes.
(Elle prend ses lunettes)Je me suis trompée. Ce n'est pas une voiture. C'est un gros camion.Valentine : Vous ne savez rien. Je ne vous crois pas. Vous dites des choses fausses. Je pars. Alors, au revoir.

Sonia : Hé ! Où est-ce que vous allez ? Mon argent !
Valentine : Qu'est-ce que vous dites ? Ooo. Ce n'est pas grave. (Criant) Tenez !

Elle sort pour rentrer chez elle. Elle voit qu'elle  n'a pas d'accident. Ensuite, elle revient chez la voyante.

Valentine : Vous m'avez dit  " Tu vas avoir un accident " mais je n'ai rien eu. Je vais bien. Je suis vivante. Vous allez me rendre mon argent. Vous êtes une menteuse.
Elle sort.
BOOUMMM !
Sonia : Voilà, j'avais raison. Comme d'habitude... C'est de sa faute. Elle ne m'a pas cru.

Faiza et Gamze


Un stylo

Patricia : Bonjour. Est-ce que tu peux me rendre mon stylo ?
Bruna : Non, je n'ai pas ton stylo.
Patricia : Oui. Je t'ai prêté mon stylo.
Bruna : Moi, je n'ai même pas ton stylo.
Patricia : Oui, je t'ai prêté mon stylo il y a deux semaines.
Bruna : Ce n'est même pas vrai.
Patricia : D'accord. Je te le laisse. Tu me le rendras plus tard.

Ana et Sabrina


A la chasse

Alfred : Bonjour.
Messi : Bonjour Alfred.
Alfred : Comment ça va ?
Messi : Ça va bien. Et toi ?
Alfred : Ça va. On va attraper des lapins. Tu en penses quoi ?
Messi : Je pense que c'est bien.
Alfred : Attends. Je vais chercher mon fusil.
Messi : Il y a un lapin. Je l'attrape.
Alfred : Voilà Le lapin s'enfuit.
Messi : C'est à cause de toi.
Alfred : Non. Ce n'est pas de ma faute.
Messi : C'est ta faute.
Alfred : Tu es un imbécile.
Messi : Non. C'est toi l'imbécile.
Alfred : Tu es un idiot.
Messi : Non. C'est toi l'idiot.
Alfred : Je vais te taper.
Messi : Non, c'est moi qui doit te dire que je vais te taper.
Alfred : Attends ! Je vais dire à mes hommes de t'enfermer.
Messi : Non. On va faire la guerre cette nuit. Tes hommes contre les miens.
La nuit :

Messi : Et voilà Alfred. Attrapez-le mes hommes. Faites attention. Les hommes de Messi viennent derrière vous.
Alfred : Attention ! Les hommes de Messi vous attrapent.
Pan ! Pan ! Pan ! Pan !

La guerre est finie.
Maintenant, on fait la paix.

Juvilino et Vitor


Le gâteau

Danny : Aujourd'hui, c'est une bonne journée. On va faire un gâteau à la fraise. Il va être délicieux. On le fait ensemble.
Mohamed : D'abord, on va prendre de l'eau. On la met sur le feu. Après, on laisse pendant une heure.
Jean-Gabriel : Mais es-tu bête ou quoi ? On ne met pas de l'eau sur le feu. On met de l'huile sur le feu. Après, on met le gâteau pendant 40 minutes.
Mohamed : Ha oui. Il a raison.
Danny : Mohamed, il n'en mangera pas. C'est moi et Jean-Gabriel qui allons manger.
Mohamed : Je vais me laver.
Danny : Jean-Gabriel, viens. On va manger le gâteau.
Jean-Gabriel : Ha OK. Tu as raison. On va tout manger.
Mohamed a fini de se laver. Il ouvre le four. Il ne voit pas de gâteau.
Mohamed : Je vais tous vous tuer. On a fait un gâteau et vous avez tout mangé.
Danny : Non, ce n'est pas moi. C'est Jean-Gabriel.
Jean-Gabriel : Quoi ? Je ne sais rien moi. Au fait, de quoi est-ce que vous parlez ?
Danny : Tu le sais très bien. Ha ha ha ! On a mangé tout le gâteau.
Mohamed : Je vais te tuer.
Jean-Gabriel : Mais non, ce n'est pas moi.
Danny : Je sors mon " gun ". Danny boum boum boum ! Ça va, ça va.

Beyague, Brahim et Hadji.

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